Titre : |
Le cinéma de banlieue : représentation des quartiers populaires ? ; enjeux d'un cinéma entre réalité et fantasme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Manon Grodner, Auteur |
Editeur : |
Paris : l'Harmattan |
Année de publication : |
impr. 2020 |
Collection : |
Logiques sociales |
Sous-collection : |
Série Études culturelles |
Importance : |
1 vol. (249 p.) |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-343-20539-7 |
Prix : |
25 EUR |
Note générale : |
Bibliogr. p. 229-243. Audiogr. p. 243. Vidéogr. p. 243-244. Webliogr. p. 245. Glossaire |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
PROJETS:2019-2024 François Hiffler, Pascale Murtin, Margot Videcoq
|
Tags : |
Banlieues Au cinéma France 1990-2020 |
Résumé : |
De La Haine de Mathieu Kassovitz en 1995 au film Les Misérables de Ladj Ly en 2019, en passant par Divines d'Houda Benyamina en 2016 ou encore Shéhérazade de Jean-Bernard Marlin en 2018, un dénominateur commun : ce qu'on appelle le « cinéma de banlieue ». Ces films qui représentent des individus issus des quartiers populaires, très souvent récompensés par l'industrie du cinéma, sont à la jonction entre documentaire et fiction, entre réalité et fantasme. Et bien qu'un consensus sur une définition semble difficile à trouver, l'expression « cinéma de banlieue » s'est imposée pour les désigner, allant jusqu'à laisser entendre l'existence contestée d'un genre. |
Le cinéma de banlieue : représentation des quartiers populaires ? ; enjeux d'un cinéma entre réalité et fantasme [texte imprimé] / Manon Grodner, Auteur . - Paris : l'Harmattan, impr. 2020 . - 1 vol. (249 p.) ; 22 cm. - ( Logiques sociales. Série Études culturelles) . ISBN : 978-2-343-20539-7 : 25 EUR Bibliogr. p. 229-243. Audiogr. p. 243. Vidéogr. p. 243-244. Webliogr. p. 245. Glossaire Langues : Français ( fre)
Catégories : |
PROJETS:2019-2024 François Hiffler, Pascale Murtin, Margot Videcoq
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Tags : |
Banlieues Au cinéma France 1990-2020 |
Résumé : |
De La Haine de Mathieu Kassovitz en 1995 au film Les Misérables de Ladj Ly en 2019, en passant par Divines d'Houda Benyamina en 2016 ou encore Shéhérazade de Jean-Bernard Marlin en 2018, un dénominateur commun : ce qu'on appelle le « cinéma de banlieue ». Ces films qui représentent des individus issus des quartiers populaires, très souvent récompensés par l'industrie du cinéma, sont à la jonction entre documentaire et fiction, entre réalité et fantasme. Et bien qu'un consensus sur une définition semble difficile à trouver, l'expression « cinéma de banlieue » s'est imposée pour les désigner, allant jusqu'à laisser entendre l'existence contestée d'un genre. |
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